alors qu’ils mettent sur pied un régime d’avantages sociaux pour leurs employés
16 mai. 2025 Temps de lecture : 15 minutes
Le mois dernier, Georges et Derek ont embauché une spécialiste des bonsaïs pour qu’elle se joigne à leur entreprise Aux jardins prospères.
Cette embauche marque une étape importante pour l’entreprise. En effet, les propriétaires peuvent ainsi élargir la gamme de services offerts à leur centre de jardinage (de plus, ce type d’arbres représente un segment lucratif du marché), et la spécialiste des bonsaïs embauchée est la 50e employée à intégrer l’équipe.
Ces deux voisins n’auraient jamais pu imaginer franchir cette étape il y a cinq ans lorsqu’ils se sont lancés en affaires ensemble. Après tout, ils ne savaient pas si leurs compétences de jardiniers amateurs seraient à la hauteur ou si leur amitié survivrait au démarrage d’une entreprise ensemble.
Compter 50 personnes sur le registre de paye est motivant. C’est aussi un tournant pour l’entreprise.
Dès qu’Alison, la spécialiste des bonsaïs, a accepté l’offre, Georges s’est tourné vers Derek dans leur bureau partagé et lui a dit : « C’est le temps. »
« Nous avons failli la perdre au profit d’un concurrent parce que nous n’offrons pas de régime d’avantages sociaux. Il ne faudrait pas risquer que ça se reproduise la prochaine fois qu’on tentera d’embaucher un employé ou que d’autres employés quittent l’entreprise parce qu’ils ne sont pas rémunérés correctement. »
Voici une mise en contexte : lorsque Georges et Derek ont commencé à parler de fonder une entreprise ensemble, Georges hésitait à se lancer en affaires principalement parce qu’il était réticent à perdre sa protection au titre du régime d’avantages sociaux de son ancien employeur.
Il était heureux de ne pas devoir débourser la totalité des frais liés aux soins médicaux, aux soins dentaires, à l’achat de nouvelles lunettes ou encore à un massage sportif lorsqu’il s’est étiré les muscles ischiojambiers en jouant au hockey. De plus, il sait à quel point une protection peut être importante en cas de graves problèmes de santé. Il se souvient encore de la mauvaise surprise causée par le prix des médicaments onéreux que son conjoint Sameer doit prendre depuis qu’il a reçu un diagnostic de migraines.
Derek, qui est plus jeune et n’a jamais bénéficié d’une protection parce qu’il a toujours été travailleur autonome, ne pensait pas que c’était une priorité absolue à leurs débuts. Après tout, il y a des mois où ils n’étaient pas sûrs de pouvoir verser les salaires, et encore moins de payer des garanties supplémentaires pour leur petite équipe.
Toutefois, Derek réalise maintenant que le temps est venu d’offrir un régime d’avantages sociaux. Après avoir passé près de perdre une employée au talent exceptionnel comme Alison, il a également constaté qu’offrir des garanties pourrait être un incitatif important pour attirer et fidéliser du personnel qui aiderait leur entreprise à prospérer.
Un autre incident a aidé Derek à comprendre plus clairement pourquoi leur entreprise doit offrir des avantages sociaux aux employés. Lors d’une réunion de rattrapage, l’un de ses plus anciens employés a éclaté en sanglots lorsqu’il leur a dit à quel point il était inquiet au sujet de sa retraite.
Ce membre de l’équipe a déclaré : « Je viens de me rendre compte que les programmes gouvernementaux seront loin d’être suffisants. »
Ayant décidé que proposer un régime d’avantages sociaux à leurs employés était une priorité absolue, Derek et Georges ont effectué des recherches qui les ont menés aux solutions pour petites entreprises de la Canada Vie.
En fait, ils ont demandé à leur mentore, Keisha, une entrepreneure prospère de la région qui emploie plus de 500 personnes dans son entreprise de fabrication de meubles, de leur faire des recommandations.
« Nous sommes justement passés à la Canada Vie il y a environ un an », leur dit Keisha au cours de l’une de leurs rencontres régulières dans un restaurant local. « L’expérience a été si formidable, et j’ai aimé qu’on ait pu mettre sur pied un régime d’avantages sociaux adapté à l’entreprise, et en plus d’assurer que les employés se sentent vraiment valorisés en tant que personnes. Je ne veux pas qu’ils aient l’impression d’être seulement un numéro. »
Lorsque les plats commandés arrivent à la table (tout le monde a eu droit aux légendaires crêpes aux bleuets), Keisha raconte l’histoire d’un membre de son équipe qui a récemment conforté l’importance d’offrir un excellent régime d’avantages sociaux.
« Vous souvenez-vous de Bobbi qui s’occupe de nos médias sociaux? », demande Keisha.
« Oui, ses vidéos TikTok sont hilarantes! », répond Derek. « N’a-t-il pas été victime d’un horrible accident de la route plus tôt cette année? »
Keisha hoche la tête. « C’est exact. Il n’a pas pu travailler pendant près de six mois ». « J’étais tellement heureuse que notre régime d’avantages sociaux comprenne une assurance invalidité de courte durée, parce que cela signifiait qu’il n’aurait pas à s’inquiéter de pouvoir payer ses factures à un moment où il devait se concentrer sur son rétablissement. »
Pendant qu’ils bavardent, Rahim, le chef du restaurant, s’arrête à leur table pour leur demander si leur repas leur plaît.
« C’est délicieux, comme toujours! Comment vont les triplés? », se renseigne Georges.
Rahim, rayonnant, sort tout de suite son téléphone pour montrer des photos de ses filles de six mois à ses clients.
« Ces enfants sont une bénédiction! », répond-il avec un peu d’émotion.
Il se glisse sur la banquette à côté de Keisha.
« Je suis très reconnaissant que tu nous aies encouragés à examiner les garanties offertes par l’employeur de Peggy pour savoir si elles comprenaient une protection pour nous aider à fonder une famille », déclare-t-il en faisant référence à l’emploi d’avocate qu’occupe son épouse dans un grand cabinet. « Il s’avère que certains des frais liés au traitement de fécondation in vitro ont été couverts. Je ne crois pas que nous aurions pu nous permettre d’effectuer une quatrième tentative sans cette protection. »
En les écoutant, Derek et Georges ont pris mentalement note de vérifier s’ils pourraient inclure cette garantie au régime qu’ils comptent offrir à leurs employés.
Plus tard au cours de la même semaine, Georges et Derek participent à un appel vidéo avec Marie-Claude, la représentante de l’équipe responsable des produits d’assurance collective de la Canada Vie. Elle a prévu un moment pour discuter de leur vision d’un régime de garanties.
Elle commence par leur poser des questions sur leur entreprise.
« Combien d’employés avez-vous? Privilégiez-vous certaines garanties? Ces renseignements nous aideront à concevoir un régime personnalisé qui convient à votre entreprise », explique-t-elle.
Ensuite, Marie-Claude leur présente les différentes garanties qu’ils pourraient inclure dans leur régime, comme une assurance vie, un Compte de gestion des dépenses santé et un régime d’épargne collectif.
« Il y a beaucoup d’éléments à considérer, alors ne vous inquiétez pas si vous avez des doutes au début », affirme-t-elle. « Nous pouvons toujours ajouter des garanties à votre régime plus tard, ou modifier celui-ci si vos employés n’utilisent pas une des garanties choisies et qu’ils veulent bénéficier d’une autre que vous n’offrez pas encore. »
Derek, qui a parlé ouvertement de la dépression dont il a souffert, était heureux d’avoir la possibilité d’offrir une protection d’assurance maladie et d’assurance dentaire qui prévoit un généreux montant pour les services en santé mentale.
Georges a aimé avoir l’occasion d’aider les employés à épargner en leur offrant un REER dans lequel l’entreprise pourrait verser des cotisations de contrepartie. En pensant à leur directeur de bureau qui s’apprêtait à prendre un congé de paternité non rémunéré, il s’est également assuré que le régime offre une protection d’appoint à cet égard.
Marie-Claude, qui travaille dans le domaine de l’assurance collective depuis 30 ans, leur fait elle-même quelques suggestions.
« Vous pourriez envisager d’offrir des garanties facultatives auxquelles vos employés peuvent adhérer, comme le produit assurance vie, assurance maladies graves et assurance accident Liberté de choisirMC. Ce produit d’assurance vous permet de compléter votre régime de garanties en offrant aux employés des protections facultatives d’assurance vie, d’assurance maladies graves et d’assurance accident qu’ils peuvent conserver même s’ils quittent votre régime. »
Elle leur suggère également d’envisager d’offrir des garanties d’assurance invalidité de courte et de longue durée.
explique Marie-Claude. « Nous offrons des ressources et du soutien pour aider les employés à rester en bonne santé et pour prévenir les absences liées à des problèmes de santé. Nous travaillons avec les employés qui ont présenté une demande de règlement pour les aider à se rétablir et à reprendre le travail. De plus, nous offrons du soutien aux employés qui retournent au travail après une absence de courte ou de longue durée. »
Ce dernier point a vraiment trouvé écho auprès de Georges. Il s’est souvenu à quel point il avait été difficile pour son père, blessé dans un accident de travail, de trouver un emploi après que sa compagnie l’avait mis à pied parce qu’elle ne voulait pas s’adapter à sa nouvelle réalité d’amputé.
À la fin de l’appel vidéo, Marie-Claude informe Derek et Georges qu’elle élaborera différentes options de régimes pour eux.
« L’une des options tiendra compte de tous les éléments sur votre liste de souhaits et l’autre option prévoira une excellente protection, mais sera peut-être un peu plus abordable, car elle ne contiendra pas tous les extras demandés », ajoute-t-elle. « Je préparerai également quelques structures de paiement différentes. »
Marie-Claude explique aux deux propriétaires du centre de jardinage qu’il existe différentes façons de financer ce régime d’avantages sociaux. En tant qu’employeurs, ils pourraient assumer la totalité des coûts. Ou, comme beaucoup d’autres entreprises, Derek et Georges pourraient prendre en charge la majeure partie des coûts, mais demander aux employés d’absorber une partie de ceux-ci en acceptant qu’un petit montant soit prélevé sur leur paye, toutes les deux semaines.
Quelques jours plus tard, Marie-Claude envoie un courriel décrivant toutes les options qu’elle a élaborées.
Georges et Derek ont bloqué quelques heures dans leur calendrier et ont analysé les renseignements fournis dans le courriel de Marie-Claude au café où ils se sont serré la main et ont accepté de se lancer en affaires ensemble il y a quelques années.
« Avoir un régime d’avantages sociaux est beaucoup plus réalisable que je ne le pensais », déclare Derek, qui a tendance à tenir les cordons de la bourse plus serrés.
« J’aimerais beaucoup offrir l’option de luxe, mais je veux également m’assurer que nous pouvons maintenir cet investissement à long terme », réplique Georges, qui est plus âgé que son partenaire d’affaires et qui sait qu’il prendra sa retraite au cours de la prochaine décennie. « Je ne voudrais pas être obligé de réduire la protection offerte par les garanties auxquelles se seraient habitués nos employés ni avoir des difficultés financières si nous ne pouvons pas respecter notre part de cette entente. »
Derek était d’accord.
« Je crois que nous pouvons certainement offrir ce régime », dit-il en pointant l’option complète qui tient compte de la majorité des éléments de leur liste de souhaits et qui prévoit que les employés assumeront un faible pourcentage des coûts. « Et si nos affaires finissent par croître encore plus, nous pourrons toujours appeler Marie-Claude et bonifier le régime. »
Georges lève sa tasse de café en direction de Derek.
« On lève nos tasses à l’établissement du régime d’avantages sociaux? », demande-t-il.
Quelques semaines après avoir signé le contrat qui établit le régime d’assurance et de garanties collectives auprès de la Canada Vie, Georges et Derek invitent leurs employés à dîner.
« Nous avons une annonce à faire », lance Derek une fois le repas terminé.
Leur équipe avait l’air ravie.
« C’est le moment de me faire poser une couronne, ce que je remets depuis quelque temps », déclare Riley, l’aide-comptable.
« Je prends un rendez-vous chez le massothérapeute le plus tôt possible », ajoute Vlad, le spécialiste des bulbes.
« Chaque mois, je paye des centaines de dollars de ma poche pour des médicaments », dit Fatima en essuyant quelques larmes.
Georges et Derek se félicitent.
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