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La Great-West, compagnie d’assurance-vie, la London Life, Compagnie d’Assurance-Vie et La Compagnie d’Assurance du Canada sur la Vie forment désormais une seule et même compagnie : La Compagnie d’Assurance du Canada sur la Vie. Découvrez la nouvelle Canada Vie

La Great-West, compagnie d’assurance-vie, la London Life, Compagnie d’Assurance-Vie et La Compagnie d’Assurance du Canada sur la Vie forment désormais une seule et même compagnie : La Compagnie d’Assurance du Canada sur la Vie. Découvrez la nouvelle Canada Vie

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Bienvenue à la Canada Vie! La Financière Liberté 55 est une division de La Compagnie d'Assurance du Canada sur la Vie, et les renseignements que vous avez demandés peuvent être consultés ici.

London Life, Compagnie d’Assurance-Vie

Le 1er janvier 2020, La Great-West, compagnie d’assurance-vie, la London Life, Compagnie d’Assurance-Vie, La Compagnie d’Assurance du Canada sur la Vie et deux sociétés de portefeuille se sont unies pour ne former qu’une seule compagnie : La Compagnie d’Assurance du Canada sur la VieS’ouvre dans une nouvelle fenêtre.

Chacune des compagnies possède une histoire fascinante et remarquable qui s’étend sur plus de 125 ans.

Maintenant que nous formons une seule compagnie, nous sommes impatients de poursuivre notre mission : améliorer le bien-être financier, physique et mental des Canadiens.

Lisez l’histoire de la London Life ci-dessous ou consultez celle de la Canada Vie et de la Great‑West.

 

Le 1er janvier 2020, la Great-West, la London Life et la Canada Vie s’unissent pour former une seule compagnie : La Compagnie d’Assurance du Canada sur la Vie.

 

La London Life renomme « Financière Liberté 55 » sa division de planification de la sécurité financière. Création des Services d’investissement Quadrus ltée, filiale de fonds communs de placement de la London Life.

 

La London Life est acquise par La Great-West, compagnie d’assurance-vie; celle-ci fait aussi l’acquisition de la Canada Vie en 2003. L’acquisition est annoncée par le président et chef de la direction de la London Life, Fred Tomczyk (photo ci-dessus, à gauche), et par le président et chef de la direction de Great-West Lifeco, Raymond McFeetors (photo ci-dessus, à droite).

 

La London Life fait l’acquisition de la majeure partie des activités canadiennes de La Prudentielle d’Amérique, Compagnie d’Assurance.

 

La London Life lance une série d’annonces publicitaires télévisées mettant en vedette la marque Liberté 55. Cette campagne publicitaire primée est intitulée « Imaginez pouvoir vous projeter dans l’avenir ».

 

La marque Liberté 55 est présentée pour la première fois au public canadien. L’accent est dorénavant mis sur l’assurance vie en tant que produit au service des gens de leur vivant plutôt qu’uniquement à leur décès.

 

La London Life lance un nouveau logo d’entreprise : une feuille d’érable stylisée.

 

La London Life produit une série télévisée primée intitulée Human Journey en partenariat avec le réseau CTV. Les publicités de la London Life, qui étaient diffusées pendant les pauses publicitaires, proclamaient que « to London Life, TV is a little more than entertainment. And life is more than insurance ».

 

La London Life devient la première compagnie d’assurance du monde à installer le système IBM 360 – un ordinateur révolutionnaire à l’époque. D’ailleurs, la NASA avait choisi cette plateforme informatique pour envoyer la mission Apollo 11 sur la lune et la ramener sur terre en 1969.

 

La London Life devient l’une des principales compagnies d’assurance au Canada, avec plus de 6,5 milliards de dollars d’assurance vie en vigueur Un nouvel édifice moderne est prévu pour loger son personnel croissant s’élevant alors à 1 600 membres. La construction de l’édifice donnant sur l’avenue Queens est achevée en 1965. Les espaces de travail de chacun de ses cinq étages s’étendent sur près d’un acre.

 

La London Life donne le ton aux compagnies d’assurance en se servant de la technologie de l’information la plus avancée dès qu’elle est offerte, devenant ainsi la première compagnie d’assurance du canadienne à avoir un ordinateur, le Remington Rand Univac. Le système est si imposant qu’une fenêtre du 4e étage est retirée pour faciliter son entrée dans l’immeuble au moyen d’une grue.

 

La London Life agrandit son siège social après la Seconde Guerre mondiale. L’annexe de sept étages (appelée « immeuble 2 ») accueille 847 employés. Comme la construction d’un troisième immeuble est terminée en 1952, le nombre d’employés travaillant dans ces bureaux passe à 1 048.

 

La London Life est l’une des principales sociétés à soutenir l’effort de guerre au Canada au cours de la Seconde Guerre mondiale; elle acquiert pour 11 millions de dollars d’obligations de la Victoire. Comme bien d’autres villes, London met sur pied un comité de citoyens chargés des services auxiliaires de guerre. C’est avec le soutien de ce comité que voit le jour la London Life Troupers, qui divertit les militaires en poste dans la province.

 

Un nouvel édifice sur l’avenue Dufferin permet de répondre à la croissance rapide de la London Life. Il comprend une salle de quilles pour les employés et un vaste auditorium pour les réunions et les réceptions. Aujourd’hui, le site est considéré comme un point d’intérêt de London.

 

Des enquêtes antitrust révèlent que les pratiques d’affaires auxquelles s’adonne l’industrie de l’assurance en Amérique du Nord sont inadéquates. Ces révélations mènent à la création d’une commission d’enquête parlementaire par le gouvernement canadien pour faire la lumière sur ces pratiques. La London Life ressort de l’enquête comme un exemple à suivre pour la façon exemplaire dont elle exerce ses activités. Les manchettes élogieuses que lui valent les conclusions de l’enquête ajoutent au succès de la London Life; le nombre d’employés au siège social passe de 22 en 1906 à 250 en 1926. En 1937, la compagnie compte des bureaux partout au Canada.

 

Au milieu des années 1880, la London Life s’adjoint les services de John G. Richter à titre de directeur général. M. Richter est un visionnaire et un homme de conviction. Sous sa direction, la compagnie conçoit des polices d’assurance et des barèmes de paiements pour le Canadien moyen. Dès lors, l’assurance n’est plus un produit que seuls les très riches peuvent se procurer.

 

La London Life est fondée à London, en Ontario, une agglomération prospère de 20 000 habitants. London compte au nombre des entreprises qui s’y trouvent les sièges sociaux de cinq sociétés d’épargne et de crédit, huit banques, 21 compagnies d’assurance et trois quotidiens.