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La Great-West, compagnie d’assurance-vie, la London Life, Compagnie d’Assurance-Vie et La Compagnie d’Assurance du Canada sur la Vie forment désormais une seule et même compagnie : La Compagnie d’Assurance du Canada sur la Vie. Découvrez la nouvelle Canada Vie

La Great-West, compagnie d’assurance-vie, la London Life, Compagnie d’Assurance-Vie et La Compagnie d’Assurance du Canada sur la Vie forment désormais une seule et même compagnie : La Compagnie d’Assurance du Canada sur la Vie. Découvrez la nouvelle Canada Vie

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Bienvenue à la Canada Vie! La Financière Liberté 55 est une division de La Compagnie d'Assurance du Canada sur la Vie, et les renseignements que vous avez demandés peuvent être consultés ici.

Devriez-vous payer les études postsecondaires de vos enfants?

Points à retenir

  • Une nouvelle étude (article en anglais seulement) montre que 81 % des parents canadiens croient qu’ils ont le devoir d’aider leurs enfants à payer leurs études postsecondaires.
  • Cependant, la question de savoir si vous devriez assumer ces coûts dépendra de votre situation personnelle, et il n’y a pas d’approche universelle.
  • Reste à savoir si vous avez déjà commencé à épargner, combien vous avez d’enfants qui feront des études postsecondaires et comment la hausse des frais de scolarité pourrait influer sur votre budget quotidien et votre capacité à épargner pour l’avenir.

 La réponse simple est que cela dépend. 

Le coût des études postsecondaires au Canada n’est pas pris en charge par le gouvernement, et selon que votre enfant fréquente une école de métiers, un cégep ou une université, le coût à payer peut s’élever à des milliers de dollars.

Une nouvelle étude (article en anglais seulement) montre qu’un programme de premier cycle de quatre ans et l’hébergement coûteront en moyenne 75 387 $ – et que ce coût devrait augmenter de près de 40 % au cours des 18 prochaines années. Votre capacité à payer une partie ou la totalité de ce coût dépendra de nombreux facteurs, notamment le nombre d’enfants que vous avez, si vous avez déjà commencé à épargner et de quelle manière, et si votre enfant doit vivre sur le campus ou à la maison. 

Il n’y a pas de réponse universelle, mais il y a des éléments auxquels vous pouvez réfléchir et qui vous aideront à prendre une décision.

Éléments à prendre en compte pour prendre votre décision 

Votre situation financière actuelle

La hausse du coût de la vie au Canada peut rendre difficile la gestion des dépenses quotidiennes, et encore plus l’achat d’une maison, l’achat d’une voiture ou l’épargne en vue des études postsecondaires

Il est recommandé d’examiner comment vous vous débrouillez maintenant pour voir si vous pouvez apporter des changements à vos habitudes financières qui vous aideront à épargner si vous envisagez de payer une partie des études de vos enfants :

  • Étudiez votre budget. Étudiez votre budget pour voir si le fait d’épargner davantage chaque mois pourrait influer sur votre capacité à payer des dépenses essentielles comme l’hypothèque et l’épicerie. Il est possible que vous deviez resserrer votre budget pour faire de la place à de l’épargne. Par exemple, vous pourriez envisager d’annuler les abonnements inutiles, de réduire la part du budget allouée à la restauration, de consolider ou de rembourser vos dettes, ou même de chercher des moyens de gagner plus d’argent. Vous pouvez utiliser des outils comme un calculateur de revenus et de dépenses | PDF 124 Ko pour vous aider à analyser vos factures et vos paiements et à déterminer le montant que vous pourriez raisonnablement consacrer à un fonds d’épargne-études.
  • Examinez vos placements. Il est recommandé d’examiner votre portefeuille une fois par année afin de déterminer le rendement de vos placements. Vous pourriez envisager certains rajustements. Par exemple, si votre enfant fera des études postsecondaires au cours des prochaines années, vous pourriez choisir une stratégie de placement plus prudente pour vous assurer que vos placements ne baissent pas, ce qui aurait pour effet de réduire l’argent disponible pour ses études.
  • Si et comment vous économisez en prévision des mauvais jours. Plus de la moitié des Canadiens vivent d’un chèque de paye à l’autre (article en anglais seulement), et près de la moitié disent qu’ils n’ont pas assez d’argent de côté pour couvrir une urgence. Même si vous économisez pour des études universitaires ou collégiales, il est important de toujours vous payer en premier et d’établir un fonds d’urgence pour couvrir les coûts liés à des imprévus, comme les réparations à la voiture ou au domicile ou une perte d’emploi.
  • Si et comment vous économisez pour l’avenir. Bien qu’il puisse être tentant d’épargner davantage en vue d’atteindre des objectifs financiers à court terme, comme payer ses études, il est important de ne pas le faire aux dépens de votre avenir financier à long terme. Si vous souhaitez – ou devez – épargner davantage pour des études postsecondaires, assurez-vous d’épargner ne serait-ce qu’un petit montant chaque mois en vue de votre retraite. Des comptes comme un régime enregistré d’épargne-retraite (REER) et la cotisation à un régime collectif au travail peuvent vous aider à bâtir votre revenu de retraite tout en épargnant pour d’autres objectifs.

Vos objectifs financiers futurs 

Il est important d’équilibrer le fait d’aider vos enfants sur le plan financier et le fait d’épargner pour votre avenir. 

Une étude de 2023 (article en anglais seulement) a révélé que 52 % des Canadiens ont l’impression qu’il ne leur reste pas suffisamment de fonds à la fin du mois pour épargner en vue de la retraite, et c’est peut-être votre cas si vous payez actuellement des frais de scolarité ou si vous économisez en vue de le faire dans l’avenir. Profiter de produits comme les REER peut vous aider à tirer le maximum de votre argent, et des outils comme notre calculateur de revenu de retraite vous permettent de voir le montant que votre épargne enregistrée pourrait vous donner à la retraite. Si votre employeur vous offre un régime de retraite collectif, il pourrait s’agir d’un autre moyen d’économiser pour l’avenir. 

En vous assurant de ne pas négliger votre épargne-retraite pour épargner en vue des études de vos enfants ou payer celles-ci, vous pourrez vous assurer d’avoir épargné suffisamment en vue de la retraite. Épargner en deçà de votre revenu de retraite souhaité peut se traduire par ce qui suit :

  • Vous pourriez devoir rajuster votre qualité de vie ou vos plans de retraite, par exemple voyager moins.
  • Il est possible que vous ne soyez pas en mesure de réaliser votre rêve de prendre une retraite anticipée.
  • Vous pourriez devoir prendre une semi-retraite ou continuer de travailler dans une certaine mesure pendant votre retraite.
  • Vous pourriez devoir travailler plus longtemps ou occuper plusieurs emplois pour accroître votre épargne-retraite. 

Bref, assurez-vous de contribuer à votre épargne-retraite chaque mois, même s’il s’agit d’un petit montant. Une petite somme peut rapporter gros au fil du temps.

Votre dynamique familiale 

Il est possible qu’un seul enfant rêve de faire des études universitaires, ou que vous ayez trois enfants et qu’ils aient tous l’intention de faire des études postsecondaires. 

Si vous êtes une famille reconstituée, vous pourriez avoir divers besoins à envisager pour des enfants d’âge différent – par exemple, vous pourriez devoir trouver un équilibre entre le coût des services de garde pour les enfants plus jeunes issus d’un deuxième mariage et les coûts associés à des études collégiales ou universitaires pour vos enfants plus âgés.

Vous pourriez également être l’un des nombreux Canadiens qui subviennent aux besoins de parents âgés physiquement ou financièrement, tout en prenant soin de votre propre famille. Surnommés la « génération sandwich », ces aidants naturels doivent trouver un équilibre entre les soins aux enfants, les soins aux parents et la protection de leur propre avenir financier. 

Chaque famille est différente, alors il est important de réfléchir à la façon dont votre situation unique joue un rôle à l’égard de votre décision.

Horizon d’épargne 

Un autre facteur clé est le moment où votre enfant prévoit de commencer ses études – ou, plus important encore, le temps dont vous disposez pour épargner. 

Certains parents ouvrent des comptes d’épargne, comme un régime enregistré d’épargne-études (REEE), dès la naissance d’un enfant, ce qui signifie qu’ils ont 18 ans pour épargner. Toutefois, d’autres pourraient ne pas commencer à épargner tout de suite, ce qui peut accroître le stress financier et réduire les économies globales. 

Prenons l’exemple suivant : Luc et Anja vivent en Ontario et ont accueilli leur bébé en janvier 2024. Ils ont ouvert un REEE et ont commencé à y cotiser immédiatement. Ils y ont fait un dépôt initial de 500 $, puis y verseront 250 $ par mois au cours des 18 prochaines années. Le taux de rendement de leur REEE est de 3 %. Lorsque leur fille sera prête à commencer l’université en 2042, ils auront accumulé 78 348 $ pour ses études. 

Reprenons l’exemple de Luc et Anja, mais cette fois-ci, ces derniers n’ont pas commencé à épargner immédiatement. Ils commenceront plutôt à épargner lorsque leur fille entrera au secondaire, ce qui ne leur donnera que quatre ans pour épargner. En utilisant le même dépôt initial, le même montant mensuel et le même taux de rendement, ils n’économiseront que 19 839 $. 

Nous pouvons voir à quel point il est important de commencer à épargner plus tôt. En ne commençant pas à épargner immédiatement, Luc et Anja ont raté l’occasion d’économiser près de 60 000 $. Un montant mis de côté chaque mois, même s’il est peu élevé, peut s’accumuler au fil du temps

L’exemple ci-dessus est fourni à titre indicatif seulement. Chaque situation peut varier en fonction de circonstances particulières.

Coût total 

Il est sage d’avoir une idée du montant que vous devrez épargner pour y arriver. 

Ce montant dépendra de plusieurs facteurs, dont les suivants :

  • Si vos enfants pensent fréquenter l’université, le cégep ou une école de métiers
  • Le temps qu’ils prévoient de consacrer aux études postsecondaires, par exemple s’ils pensent obtenir uniquement un diplôme de premier cycle, ou s’ils envisagent de faire une maîtrise ou un doctorat
  • La province ou le territoire où l’établissement est situé
  • Si vos enfants veulent vivre à la maison et faire la navette entre celle-ci et leur établissement scolaire, ou vivre sur le campus ou à proximité de celui-ci
  • Les frais de scolarité liés à leur programme
  • Le montant d’argent nécessaire pour payer les livres, la technologie (comme un ordinateur portable) et d’autre matériel associés à leur programme
  • Le montant requis pour couvrir leurs frais de subsistance, comme la nourriture et les déplacements
  • L’admissibilité à l’aide financière ou aux prêts étudiants 

Il est également important de décider si vous prendrez en charge tous les coûts associés à la fréquentation d’un établissement d’enseignement postsecondaire, ou seulement une partie. Par exemple, vous pourriez convenir de payer les frais de scolarité et laisser à vos enfants le soin de payer les frais liés à l’hébergement, aux livres et aux déplacements. 

Avoir une discussion ouverte et franche avec votre conjoint, vos enfants et même avec les membres de votre famille élargie pourrait vous aider à déterminer la meilleure voie à suivre pour votre situation.

Moyens d’économiser en vue des études postsecondaires 

Si, après en avoir discuté, vous prévoyez d’assumer une partie ou la totalité des coûts associés aux études postsecondaires de vos enfants, il est important de commencer à épargner le plus tôt possible. Il est également sage de profiter des comptes à l’abri de l’impôt ainsi que des prestations gouvernementales, qui peuvent vous aider à épargner le plus possible : 

Régime enregistré d’épargne-études (REEE) 

Le régime enregistré d’épargne-études (REEE) est un compte d’épargne à l’abri de l’impôt conçu pour vous aider à épargner pour les études postsecondaires de vos enfants. En date de 2024, le gouvernement verse une somme équivalant à 20 % de vos cotisations annuelles à un REEE, jusqu’à concurrence d’un maximum par enfant de 500 $ par année et de 7 200 $ à vie. En 2022, près de 57 % des enfants admissibles au Canada ont reçu une prestation fédérale pour l’épargne-études dans un REEE. Notre sondage de 2021 a révélé que près de la moitié des Canadiens cotisent chaque mois à un REEE, mais bien que ce soit peut-être la façon la plus populaire d’épargner en vue des études, ce n’est pas la seule façon. 

Compte d’épargne libre d’impôt (CELI) 

En dépit de son nom, le CELI n’est pas un compte d’épargne traditionnel – c’est un instrument qui vous permet de placer votre argent dans des fonds communs de placement ou des fonds distincts. Il est polyvalent, de sorte que vous pouvez l’utiliser pour épargner en vue d’un objectif immédiat, comme l’achat d’une nouvelle voiture ou un voyage, mais aussi pour épargner en vue de votre retraite ou des études de vos enfants. En 2020, une recherche a révélé que 16 % des familles qui épargnent ont utilisé un CELI pour des études postsecondaires. 

Fonds communs de placement 

Les fonds communs de placement vous procurent divers fonds et types de placements concurrentiels qui vous aideront à atteindre vos objectifs. Ils vous permettent d’accéder à différents styles de gestion et d’investir dans différents secteurs, pays et types de placements. Cela peut vous aider, vous et votre conseiller, à équilibrer le risque et les rendements à long terme. 

Subventions gouvernementales 

Le gouvernement canadien met à la disposition des parents des ressources pour les aider à élever une famille. Certaines prestations nécessitent que vous présentiez une demande au gouvernement, tandis que d’autres peuvent être réclamées dans votre déclaration de revenus. Vérifiez si vous êtes admissible à recevoir ce qui suit :

  • Subvention canadienne pour l’épargne-études (SCEE) – La SCEE est un montant que le gouvernement ajoute à un REEE pour aider à couvrir le coût des études postsecondaires. Cet argent peut servir à payer les études à temps plein ou à temps partiel d’étudiants inscrits à l’université, au collège, à l’école de métiers ou à un programme d’apprenti. Il peut également être utilisé pour aider les étudiants qui fréquentent un cégep au Québec.
  • Allocation canadienne pour enfants (ACE) – L’ACE offre aux parents d’enfants admissibles de moins de 18 ans un versement mensuel libre d’impôt.
  • Bon d’études canadien (BEC) – Le BEC est une somme versée par le Gouvernement du Canada pour aider les familles à faible revenu à épargner en vue des études postsecondaires.

Héritage

Tout montant reçu par héritage de grands-parents, par exemple, pourrait servir à épargner pour les études. Envisagez aussi d’utiliser votre propre héritage pour payer une partie des coûts. Pesez le pour et le contre de la transmission d’un « héritage de votre vivant » à vos enfants, ce qui signifie de léguer à ces derniers votre héritage pendant que vous êtes encore vivant. 

Solutions de rechange au financement des études postsecondaires 

En fin de compte, il pourrait s’avérer que le fait de payer les études postsecondaires de vos enfants n’est pas le bon choix pour votre famille. 

Peut-être que les coûts sont tout simplement trop élevés, que votre épargne n’est pas suffisante pour couvrir ces coûts et qu’emprunter de l’argent pour les payer vous causera des difficultés financières. Cela ne signifie pas que tout espoir est perdu – il est toujours possible de financer des études postsecondaires : 

Bourses d’études, subventions et autres bourses

Le Canada offre des centaines de bourses d’études et de subventions et d’autres bourses que les étudiants peuvent demander. Les bourses d’études sont habituellement fondées sur le mérite, comme une moyenne générale élevée, alors que les subventions et autres bourses sont habituellement fondées sur les besoins financiers. Contrairement à un prêt étudiant, cette aide financière n’a pas besoin d’être remboursée une fois que votre enfant a terminé ses études. 

Prêts étudiants et marges de crédit 

Plus de la moitié des parents canadiens sont prêts à s’endetter pour payer les études de leurs enfants, mais ce n’est peut-être pas toujours le meilleur choix sur le plan financier. Comme vous êtes plus près de la retraite que votre enfant, vous pourriez avoir de la difficulté à épargner en vue de la retraite si vous vous endettez à un âge plus avancé. Toutefois, votre enfant pourrait être en mesure d’emprunter de l’argent pour payer ses études grâce aux solutions suivantes :

  • Prêt étudiant – Les prêts étudiants sont offerts par le gouvernement canadien. Votre enfant (le demandeur) peut présenter une demande et, s’il est admissible, il recevra une somme fixe qu’il devra rembourser avec intérêts une fois qu’il aura terminé ses études.
  • Marge de crédit étudiante – Les marges de crédit sont offertes par l’entremise de prêteurs, comme votre banque. Votre enfant peut présenter une demande et recevoir un montant auquel il a accès, sans avoir nécessairement besoin de l’utiliser. Par exemple, il pourrait obtenir une approbation pour une marge de crédit de 15 000 $, mais avoir uniquement besoin d’utiliser 7 000 $. Il ne serait alors responsable que du remboursement de la somme de 7 000 $. Les étudiants doivent payer au moins les intérêts sur leur marge de crédit, même pendant leurs études. Quant au remboursement après les études, la plupart des institutions financières accordent un délai de grâce au cours duquel seuls les intérêts doivent être remboursés (habituellement de 6 à 12 mois après l’obtention du diplôme), après quoi il faut commencer à rembourser le montant du prêt également. 

La possibilité ou la nécessité pour votre enfant d’emprunter de l’argent pour payer ses études dépendra de plusieurs facteurs, mais peut-être surtout du fait qu’il prévoit ou non d’avoir un revenu pendant ses études pour l’aider à rembourser sa dette. 

Travailler pendant les études 

Il est possible que votre enfant travaille à temps partiel ou à temps plein pendant ses études, selon qu’il s’agisse d’études à temps partiel ou à temps plein. Ce revenu peut l’aider à couvrir non seulement le remboursement de la dette étudiante s’il contracte un prêt, mais aussi les coûts quotidiens, comme les livres, les frais de déplacement et l’épicerie.

En plus des avantages financiers liés au fait que votre enfant paie une partie de ses études, cela peut également représenter une occasion d’en apprendre davantage sur l’établissement d’un budget, la gestion du temps, l’équilibre entre le remboursement des dettes et l’épargne, ainsi que d’autres compétences de vie essentielles. Par ailleurs, une expérience de travail pourrait lui être utile lorsqu’il entrera sur le marché du travail après avoir terminé ses études. Les employeurs apprécient souvent les candidats qui possèdent une formation et une expérience de travail pratique.

Et maintenant?

Maintenant que vous savez mieux si vous devez payer les études postsecondaires de votre enfant, vous voudrez peut-être :

  • Parlez à un conseiller qui peut vous aider à épargner pour vos études ou à contribuer à des régimes d’épargne ou de retraite.

Les renseignements fournis dans le présent document sont, à notre connaissance, exacts au moment de leur publication; toutefois, les règles et les interprétations peuvent changer. Ces renseignements sont de nature générale et visent uniquement à informer. Pour des questions particulières, vous devriez consulter un expert juridique, comptable ou fiscal.

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